Éliane
Je profite de cette liste, sans doute incomplète et les absents me pardonneront, car, sans les crapauds, je ne vous aurais sans doute jamais rencontrés. Donc, si j’accepte volontiers tes remerciements, à mon tour de te remercier. Sans toi, je me sentais bien impuissant le matin en apercevant tous ces « Princes et Princesses » (j’ai lu ça enfant) écrasés sur cette route, et ce n’était pas les trois/quatre que j’aidais qui allaient sauver cette zone. Donc merci de nous avoir associés, et pour moi, permis de vous rencontrer.
J’ai été récompensé tous les soirs en connaissant le nombre des vivants rejoignant le lac et le peu d’écrasés chaque jour. J’ai été aussi beaucoup remercié par tes bugnes, vin chaud, jus de pomme…, mais aussi les délicieux gâteaux réalisés par deux adorables (vraies) Princesses… et également par toutes les personnes avec qui j’ai eu le temps de partager « un bout de route ». Bref, ce fut pour moi une succession de belles soirées. Malgré la nuit, les deux heures trente environ, je n’ai jamais vu le temps passer, comme on dit « que du Bonheur ». Ah…, je remercie toutes ces magnifiques « crapaudes » d’avoir résisté à mon charme, car je serais bien triste de ne pas recommencer l’année prochaine. Merci encore à toi Éliane, merci à tous de votre participation, merci aux crapauds et grenouilles…, et à la clémente météo.
Et si, dans la foulée, nous organisions une fête (de jour, pour se voir) rapidement ? Un samedi ou un dimanche, sur les bords du lac, en y associant le gérant, les journalistes qui nous ont suivis, ceux importants que j’oublie ou que je ne connais pas, en allant découvrir les abords du lac pour retrouver nos « Princesses et nos Princes », en invitant les associations de pécheurs (les poissons mangent les œufs, les têtards et les jeunes), les élus… pour une journée de fête et de sensibilisation aux amphibiens. Bref, si les crapauds nous ont reliés, relions-nous aux autres hommes et femmes, afin que nous soyons plus nombreux à les suivre les années futures. Toute simple la fête : une table, tous apportent un quelque chose à partager et une dose de confiance.
D’autre part, est-ce que des banderoles au-dessus de la route ne seraient pas moins faciles à voler que des panneaux au sol ?
Stéphane