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Entre Alpes et Haute-Provence : le Col de Vars

Pour ce dimanche de rentrée, le groupe local a  choisi de se rendre au Col de Vars. Même si les fleurs sont moins abondantes, il y règne une atmosphère très agréable. Nous avons passé une excellente journée avec une météo estivale. Dépaysement total par rapport au Gapençais !

Le soleil commence à illuminer les crêtes : on saute de voiture !
Le soleil commence à illuminer les crêtes : on saute de voiture !

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous avons eu du mal à identifier tous les oiseaux que nous avons vus car la présence des juvéniles, les plumages d’éclipse, les cris au lieu des chants compliquent la tâche ! Nous avons donc pris notre temps. Nous sommes restés au même endroit, les yeux rivés sur les jumelles ou la longue-vue pendant deux heures avant de nous déplacer de dix mètres, ce qui nous donnait une vue différente sur un petit vallon très fréquenté (par les oiseaux bien sûr). Outre le ballet des casse-noix mouchetés,  les habituels chardonnerets, venturons, pinsons et traquets motteux, nous avons pu confirmer la présence de gobe-mouches noirs et de nombreux tariers des prés. Un faucon mystérieux n’a pas daigné renouveler son apparition et il a fallu attendre l’heure du départ pour voir les aigles royaux et les vautours fauves.

Patience et émerveillement
Patience et émerveillement

 

 

 

 

 

 

 

 

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     Après le pique-nique et la sieste, nous nous sommes intéressés aux libellules mais une seule espèce chassait aux alentours des petits lacs : Anax imperator. Quant aux papillons, ils sont encore très nombreux… et pas toujours très coopératifs pour la détermination !

 

 

 

Le lendemain, sur les crêtes du Paneyron, trois pluviers guignards ont émerveillé les randonneurs venus avec Eliane.P1130813rd

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