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Chaque année, le 2 février, la Journée mondiale des zones humides commémore la signature de la Convention sur les zones humides, le 2 février 1971, dans la ville iranienne de Ramsar, au bord de la mer Caspienne. Des organismes gouvernementaux, des organisations non gouvernementales et des groupes de citoyens à tous les niveaux de la société profitent de l’occasion pour lancer des actions de sensibilisation du public aux valeurs et aux avantages des zones humides en général, et de la Convention de Ramsar en particulier.

Les 26 & 27 janvier 2019, les Citoyens pour le Climat — en lien avec les partenaires et acteurs “climat” — lancent un 'Week-end d'actions pour le Climat', rejoignant ainsi la Belgique et l'Angleterre. Partout en France, les citoyens se mobilisent pour faire entendre leur voix et clamer très fort que la lutte contre la crise climatique doit être la priorité de l'Humanité.

Dans le cadre d’un projet de station météo à réaliser avec un groupe de 3 élèves de terminale STI2D à Briançon, une présentation de la réserve et de ses enjeux a été menée le 10 Janvier.

La LPO vous invite à prendre part au mouvement le 8 septembre partout en France !

Un groupe d’une vingtaine de scientifiques de plusieurs laboratoires de recherche français (INRA, IRSTEA, CNRS, Université Grenoble-Alpes, Université Aix-Marseille), de gestionnaires forestiers et de gestionnaires d’espaces naturels (ONF, réserves naturelles, Natura 2000, PNR…) s’est réuni le 15 juin 2018, à l’invitation du président du PETR du Grand Briançonnais, pour dialoguer sur les recherches à développer pour les forêts de montagne face au changement climatique.

En 2017, un appel à projet "Nature 2050" a retenu le projet déposé par la LPO PACA visant à restaurer une dynamique naturelle dans l'espace forestier des Hautes-Alpes.

Publié dans The Conversation en collaboration avec les chercheurs de l'ISYEB dans la chronique " En direct des espèces ", cet article s'intéresse à la place de plus en plus importante accordée à l'arbre en ville.
Les zones urbanisées occupent environ 10 % des surfaces terrestres, une proportion qui ne cesse de croître. Ces espaces constituent les milieux de vie de plus de 50 % de la population mondiale et contribuent de manière importante au changement climatique.

Face aux impacts du dérèglement climatique et à la forte pression anthropique que subit le territoire de PACA, quelles sont les stratégies d’adaptation à envisager ? Quel rôle le Conseil régional peut-il jouer ? Combien coûtera le prix de l'inaction ? Le CESER PACA vient de publier une synthèse sur les enjeux et les actions qu'ils conviendraient de mener en Provence-Alpes-Côte d'Azur afin d'anticiper et d'atténuer les effets du dérèglement climatique.

A partir de longues séries de données météorologiques, le Groupe régional d’experts sur le climat en Provence-Alpes-Côte d’Azur (GREC-PACA), animé par AIR, publie son 1er cahier thématique qui permet d’évaluer l’ampleur du changement climatique à l’échelle régionale et locale, et de comprendre les fluctuations du climat passé, présent et futur. Le GREC commence ainsi à dresser de manière didactique le cadre de vie des provençaux dans les décennies à venir.

Ce vendredi 18 décembre 2016, alors que la COP 21 s'est terminée, les élèves du périscolaire de l'école du Suve ont planté symboliquement 3 arbres pour lutter contre le dérèglement climatique.

Lundi 14 décembre 2016, après la signature de l'accord pour le Climat par les dirigeants, les enfants de l'école Lou Souléou ont souhaité aussi s'investir dans la lutte contre le dérèglement climatique.

Le mardi 15 novembre, dans le local de l’Office de la mer, les marseillais et membres du groupe local Marseille ont eu le privilège d’avoir une conférence sur la Biodiversité et le changement climatique.

La COP 21 a promu la réduction des gaz à effet de serre dans les décennies à venir, la LPO PACA appelle d'ores et déjà les nouveaux élus du Conseil régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur à s'orienter vers de nouveaux systèmes économiques "bas carbone" et à adapter leurs politiques publiques aux impacts du dérèglement climatique dès aujourd'hui.

Eco-école et labellisée Refuge LPO, l'école Jules Ferry de Cagnes-sur-Mer et en particulier la classe de Mme Franquin ont participé à la plantation d'un citronnier dans leur école dans le cadre de l'opération "Un arbre pour le climat" le mercredi 2 décembre 2015.

Le mercredi 2 décembre s’est déroulé au Collège Jean Giono, l’opération « Un Arbre pour le climat ». Cette structure scolaire, connue pour ses actions éducatives liées à l’environnement, à tenu à monter sa détermination pour lutter contre le réchauffement climatique. Outre la plantation de plusieurs arbres (oliviers, figuiers), les élèves ont proposé un code de bonne conduite à l’égard des enjeux de développement durable, puis ont présenté un diaporama montrant leur travail intense de préparation.

Parfois, on se demande à quoi peuvent bien servir les données collectées chaque jour par tous les observateurs de la Nature sur faune-paca.org. Et on peut se lasser, pourtant en voici un nouvel exemple.

Le réchauffement climatique correspond à une augmentation globale des températures moyennes des océans et de l'atmosphère. Il s'agit donc d'un phénomène observable à l'échelle du globe. Si l'idée d'un réchauffement est naturelle, la vitesse à laquelle il s'opère l'est beaucoup moins.

Vendredi 13 novembre, les enfants de l’école de Guillaumes (Alpes-Maritimes) ont symboliquement planté deux arbres pour montrer leur mobilisation en faveur de la lutte contre le changement climatique.

L’opération « Un arbre pour le climat ! » vise à déployer un dispositif de mobilisation des citoyens et des communes, pour planter des arbres dans toute la France durant les mois précédant la COP21. Le point d’orgue aura lieu autour du 25 novembre 2015, jour de la Sainte Catherine car comme chacun sait : « À la Sainte Catherine, tout bois prend racines ». Des initiatives locales sont dores et déjà programmées en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Le changement climatique constitue une réelle menace tant pour la vie sauvage que pour le bien-être humain, dont l’issue probable est la perte considérable d’espèces et d’habitats. Ce phénomène ne fait que contribuer à l’accélération de la disparition de la biodiversité globale à laquelle nous assistons actuellement. La réponse de l’Europe est décisive en la matière.