Chevalier arlequin © Aurélien AUDEVARDPlus grand que le Chevalier gambette, il s’en distingue aussi par son bec beaucoup plus long et fin, l’absence de bord postérieur blanc sur les ailes et surtout par son plumage pratiquement noir ponctué de blanc en période nuptiale. Il fréquente les taïgas claires, les tourbières et marécages, ainsi que les toundras boisées du Nord de la Fennoscandie et de la Russie, nichant à la lisière des forêts, dans les landes et les prairies à proximité de l’eau. Hivernant en Afrique et dans le sud de l’Europe, moins de 400 oiseaux hivernent chaque année sur les côtes françaises.

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