Profitant de cette fin d'automne clémente, un chantier bénévole a été organisé pour curer un des canaux de la zone humide des Piles, approvisionnant en eau une des quatre mares du site. Une dizaine de bénévoles des groupes locaux de Gap et de Briançon se sont mobilisés pour mener à bien ces travaux de curage. Deux journées ont été nécessaires pour voir à nouveau couler l'eau jusqu'à la mare.
Cette action est une opération expérimentale dans le cadre de la gestion du site. L'objectif est à la fois de rouvrir le canal pour permettre la circulation de certaines espèces animales telles que les libellules mais aussi d'augmenter le volume d'eau de la mare qui commence à s'atterrir et ainsi conserver sa riche biodiversité. En effet, d'après le dernier inventaire réalisé durant l'été 2015, on peut trouver sur le site des Piles un tiers des espèces de libellules répertoriées en France.
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Profitant de cette fin d'automne clémente, un chantier bénévole a été organisé pour curer un des canaux de la zone humide des Piles, approvisionnant en eau une des quatre mares du site. Une dizaine de bénévoles des groupes locaux de Gap et de Briançon se sont mobilisés pour mener à bien ces travaux de curage. Deux journées ont été nécessaires pour voir à nouveau couler l'eau jusqu'à la mare.
Cette action est une opération expérimentale dans le cadre de la gestion du site. L'objectif est à la fois de rouvrir le canal pour permettre la circulation de certaines espèces animales telles que les libellules mais aussi d'augmenter le volume d'eau de la mare qui commence à s'atterrir et ainsi conserver sa riche biodiversité. En effet, d'après le dernier inventaire réalisé durant l'été 2015, on peut trouver sur le site des Piles un tiers des espèces de libellules répertoriées en France.