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Voici enfin une bonne nouvelle pour nos amies insectivores, les hirondelles et les martinets !
Depuis le 1er janvier 2019, la vente de pesticides chimiques de synthèse est interdite aux particuliers. Il s’agit des produits phytosanitaires : fongicides, insecticides, nématicides, acaricides, herbicides et autres biocides d’origine chimique. La commercialisation et la détention de tous ces produits à usage non professionnel sont désormais interdites. -
Le Blongios nain
L’image de la semaine provient des Vieux salins d’Hyères où un Blongios nain, espèce rarissime en hiver, a été photographié. Ce minuscule Héron d’une trentaine de centimètres passe normalement la mauvaise saison en Afrique et dans le sous-continent indien. La population française comprise entre 280 et 520 couples montre un déclin marqué depuis les années 60, avec la perte des zones humides, si bien qu’elle est classée « En Danger » dans l’hexagone. -
L’Hirondelle de rochers
Difficile à suivre aux jumelles, cette virtuose de la voltige est l’hirondelle dont le vol est le plus maîtrisé. En effet, il s’apparente à un véritable spectacle le long des falaises avec des piqués vertigineux. L’Hirondelle de rochers est celle qui passe le plus de temps dans notre pays. Migratrice au nord de son aire de répartition, elle devient migratrice partielle dans le sud de l’Europe. Les migrateurs se déplacent vers la région méditerranéenne ou dans le nord de l’Afrique. -
Les Flamants roses des Salins d’Hyères volent jusqu’à la presqu’île de Saint-Mandrier
Le flamant rose… Son caractère exotique dans l’imaginaire collectif peut expliquer son succès dans les objets de notre vie quotidienne Avant cet étonnant engouement, le flamant rose était l’emblème de la Camargue – la grande, celle que l’on sait entre les bras du majestueux Rhône, et la plus petite, qui nous est plus familière aux portes de la cité Hyéroise. -
L’Effraie des clochers
Appelée aussi la Dame blanche, l’Effraie est sans doute l’espèce de rapace nocturne nicheur la plus menacée de Paca. En effet, les preuves de nidification se comptent désormais sur les doigts des deux mains depuis 10 ans. Avec son vol bas, les collisions routières représentent 50% des causes de mortalités, bien favorisées par l’arrachage des haies en bord de route. Sur le territoire de la métropole, un seul couple est encore connu sur la base aéronavale d’Hyères. -
Le Dr Jane Goodall protectrice des martinets
Le Dr Jane Goodall nous explique pourquoi le martinet est un oiseau fascinant qui fait pratiquement tout en vol : manger, boire, dormir, s'accoupler, recueillir les matériaux pour leur nid. Mais il est menacé et a donc besoin de notre protection en Europe et en Afrique. -
Toulon ville lauréates du concours Capitale française de la Biodiversité
Toulon figure parmi les lauréats du concours Capitale française de la Biodiversité 2018dans la catégorie "Milieu urbain et bâti",pour la protection des nids de Martinets dans le bâti en partenariat avec la LPO Provence-Alpes-Côte d'Azur, à travers son groupe local de Toulon. -
Une nouvelle saison de reproduction du trio de gypaètes barbus est engagée dans le Haut-Dauphiné
Les premiers accouplements de Gypaètes barbus ont été observés dans le Haut-Dauphiné. Pendant cette période, les oiseaux sont sensibles au dérangement. Afin de respecter leur tranquillité, une zone de sensibilité majeure (ZSM) est mise en place avec une zone coeur de 700m où l'activité est à éviter et une zone tampon de 1000m où le survol est à éviter. Merci de les respecter. -
Le Grand-duc d’Europe
Rapace nocturne le plus grand d’Europe, le Grand-duc occupe tous les principaux reliefs de France avec des noyaux de populations dans le Massif central et la bordure méditerranéenne. Super prédateur, sa taille lui permet de maitriser des mammifères ou des oiseaux de grandes tailles comme le Lapin de garenne, la Fouine ou des rapaces diurnes et nocturnes ! Très bien implanté sur le territoire de la Métropole, on l’entend en hiver émettre son hou-ôh grave, signalant le début de sa reproduction. -
L’Harelde boréale
Espèce abondante du haut Arctique, l’Harelde boréale est un canard plongeur qui se reproduit près des mares et des petits lacs dans la toundra. Même si l’espèce présente un large éventail de plumages, le mâle est facilement reconnaissable à sa très longue queue. C’est en automne qu’elle entame une migration vers le sud pour atteindre en faible nombre les côtes atlantiques et plus rarement méditerranéennes. Un oiseau a d’ailleurs été vu en ce début de semaine sur les salins d’Hyères. -
Une journée de concertation pour une année d'actions en faveur des hirondelles et des martinets
Hirondelles et martinets sont des espèces dépendantes des constructions humaines pour leur reproduction. Les Hirondelles de fenêtres accusent un déclin très important ces dernières années. Chaque année en été et au printemps, la LPO Provence-Alpes-Côte d'Azur se mobilise pour sensibiliser le grand public, enrichir nos connaissances et ainsi mieux les protéger. -
Nourrir les oiseaux de son jardin cet hiver
Depuis quelques semaines le gel et la neige se sont abattus sur le territoire, menaçant ainsi la survie de nombreux animaux. Et pour cause : l'arrivée du froid limite les déplacements des oiseaux et rend l'accès aux ressources difficile voir impossible pour certains d'entre-eux. -
L'Oiseau Mag Junior n°33 : parution début décembre
S’il y a des animaux qui contribuent à la beauté du monde, il s’agit bien des oiseaux ! Avec leurs plumages colorés, leurs chants merveilleux et leurs nids douillets, ils réjouissent l’œil humain. Certaines espèces semblent encore plus artistes que d’autres. Venez vite les découvrir dans ce nouveau numéro de l'Oiseau Mag Junior ! Abonnez-vous dès maintenant pour le recevoir ! -
Concilier rénovation du petit patrimoine bâti et préservation de la biodiversité
Dans le cadre d’une journée organisée lundi 12 novembre à Cairanne (84) sur le thème du « Patrimoine viticole et les cabanons » par l’association des Elus et citoyens pour le patrimoine de Vaucluse, la LPO PACA a été invitée pour présenter l’intérêt d’intégrer la biodiversité dans les projets de rénovation et de valorisation du petit patrimoine bâti en zone agricole. -
Construire et installer des nichoirs pour les oiseaux et les chauves-souris
Contrairement aux idées reçues, les nichoirs doivent être installés de préférence dès le mois de novembre et non au printemps. En effet, certains oiseaux, comme la mésange, recherchent très tôt un lieu pour la reproduction. D’autres comme le troglodyte mignon vont s’y abriter en hiver. -
Le Flamant rose
Emblème des lagunes méditerranéennes, le Flamant rose est un résident permanent des salins d’Hyères. Entre 800 et 1000 oiseaux hivernent chaque année sur ce site. Novembre et décembre voient le début des parades et la formation des couples. Outre la célèbre figure en cœur, 8 postures différentes et 17 transitions possibles ont été identifiées lors de leurs parades, soit un maximum de 136 combinaisons différentes ! -
Lancement officiel de la carte des oiseaux d'Hyères ce jeudi 8 novembre
Ce jeudi 8 novembre a eu lieu le lancement officiel de la carte découverte des oiseaux d'Hyères à l'esplanade du château, en présence de Jean-Pierre Giran, maire de la ville, des représentants des partenaires du projet dont la Métropole Toulon Provence Méditerranée, Enedis, le département du Var, le Parc national de Port-Cros, le Conservatoire du littoral et la LPO Provence-Alpes-Côte d'Azur. -
Lancement de la carte découverte «Les oiseaux d’Hyères»
La LPO Provence-Alpes-Côte d’Azur et la Ville d’Hyères sont heureux de vous inviter au lancement du dépliant «Les oiseaux d’Hyères» le jeudi 8 novembre 2018 à 9h00, esplanade du Château à Hyères. -
La migration au Fort de la Revère est terminée !
Au total, le suivi 2018 aura permis de dénombrer 25 048 oiseaux migrateurs. Pour ne citer que les espèces phares : 220 Aigles bottés, 68 Circaètes Jean-le-blanc, 201 Bondrées apivores, 15 694 Pigeons ramiers, 481 Guêpiers d’Europe, 2 783 Pinsons des arbres, 2 235 Hirondelles rustiques et 1 351 Hirondelles de fenêtre ont été comptabilisés. -
Camps de prospection Grand-duc d’Europe dans le massif des Alpilles
Dans le cadre du programme LIFE Alpilles, trois camps de prospection concernant le suivi Grand-duc d’Europe seront organisés les samedis 24 novembre, 8 décembre 2018 et 5 janvier 2019. Les participants se rejoindront sur les deux points d’accueils situés au parking de la salle Agora à Maussaneet au parking de la salle des fêtes d’Eygalières, à 16h00.
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