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Seuls 5 jeunes vautours pourront être libérés cette saison en France, en dessous du seuil minimal habituel.
Surnommé le « casseur d’os », le Gypaète barbu est un grand rapace nécrophage qui avait quasiment disparu de l’Hexagone en raison de persécutions liées à sa mauvaise réputation, de la raréfaction des herbivores sauvages et de l’évolution des pratiques agricoles. Alors que seuls quelques individus subsistaient dans les Pyrénées à la fin des années 1960, des programmes de réintroduction en partie coordonnés par la LPO ont permis dans un premier temps de reconstituer un noyau de population dans les Alpes, puis actuellement dans le Massif central. Depuis les années 1980, plus de 420 gypaètes ont ainsi été réintroduits en Europe.
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Des substances interdites restent utilisées pour éliminer des espèces protégées.
Ce lundi 5 mai, la LPO était déjà partie civile devant le Tribunal correctionnel de Foix pour une affaire portant sur l'empoisonnement d'un Milan royal et d'un Autour des palombes au Carbofuran, un insecticide toxique interdit dans l’Union Européenne depuis 2008. La substance circule encore sur des marchés parallèles, ou est importée illégalement depuis des pays où elle demeure autorisée, et peut alors servir de poison pour éliminer des espèces ciblées par des appâts mortels.
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Avec 88 espèces contactées pour 5084 oiseaux dénombrés, cette fin du mois d'avril est marquée par une hausse de la diversité et des quantités d'oiseaux tout à fait respectables. Les installations des laro-limicoles se précisent avec des chiffres, rappelant les plus belles années de suivi !
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Moins connue que la pollution chimique ou la pollution par déchets plastiques, la pollution lumineuse nocturne est pourtant omniprésente sur nos territoires et affecte de nombreuses espèces animales, notamment les chiroptères, les amphibiens et les hétérocères (papillons de nuit). En effet, ces espèces subissent, du fait de la pollution lumineuse, une perte d’habitats et de territoires de chasse potentiellement favorables. Cette pression s’ajoute alors aux nombreuses autres causes de pression anthropique déjà bien connues et documentées (artificialisation des sols, réchauffement climatique, agriculture intensive, etc.).