Contenus en lien avec le mot-clé

  • Le Pipit spioncelle

    Pipit spioncelle © Aurélien AudevardAprès avoir quitté ses quartiers de reproduction montagnards (jusqu’à 2700 mètres), où il niche dans des cavités ou des crevasses rocailleuses, le Pipit spioncelle effectue une migration altitudinale pour rejoindre des zones d’hivernage plus clémentes. A basse altitude, il affectionne les prairies humides, les vasières des étangs, des canaux, des marais d'eau douce ou salée, où il glane des invertébrés. Entre la mi-octobre et la mi-avril, les zones humides littorales de Provence-Alpes-Côte d'Azur offrent à cette espèce une zone de quiétude exceptionnelle pour passer l'hiver.

  • L’Oreillard gris

    Oreillard gris © Jean-Michel BomparL’Oreillard gris fait partie des 34 espèces de Chauve-souris présentes en France. Répartie dans toute la France c’est une espèce qui fréquente les forêts méditerranéennes littorales, les plaines et les versants boisés des Préalpes. En été, on la retrouve en petites colonies de mise bas notamment sous les charpentes, les combles ou les granges. A l’inverse en hiver, elle devient solitaire et se rencontre de façon isolée dans des milieux assez divers comme les mines, les tunnels ou des grottes.

  • La chenille du Machaon

    Chenille de Machaon © Aurélien AudevardAvec ses 5 cm de longueur, cette chenille à la robe zébrée ponctuée de taches orange n’est autre que le stade larvaire du magnifique Machaon. Ce papillon pouvant atteindre 90 mm d’envergure est largement répandu sur le territoire de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur. La Carotte sauvage ou le Fenouil sont les plantes où vous pourrez observer sa chenille. En cas de danger, celle-ci est capable de déployer une glande bifide et d’émettre des composés chimiques qui repousseront les prédateurs.

  • Le Vulcain

    Vulcain © Aurélien AudevardPapillon diurne relativement commun, le Vulcain entame avec l’arrivée de l’automne, sa migration vers des contrées méridionales plus clémentes, comme l’Afrique du nord. Lorsque les conditions météorologiques le lui permettent, il est capable d’effectuer 3000 km en 5 semaines, bien aidé également par la couleur noire de sa robe, lui permettant une absorption rapide de la chaleur solaire. Durant ce grand voyage, il ne s’arrêtera qu’une fois par semaine pour s’alimenter de fruits pourris ou de nectar.

  • Lancement des "Défis nature" de faune-paca.org : les reptiles de montagne

    Vipère aspic © Alain HuguesA l'instar de son homologue d'Aquitaine, faune-paca.org lance une série de "Défis nature" pour mobiliser les observateurs sur des sujets ou des espèces pour lesquels il y a encore beaucoup à découvrir !

  • Suivi 2020 du couple de Faucons pèlerins au Château de l'Escarelle dans le Var

    Accomplement des Faucon pèlerins à l'EscarelleDepuis plusieurs années maintenant, un couple de Faucons pèlerins s’est installé sur une falaise de la Loube loin des activités humaines. Deux bénévoles de la LPO PACA, Véronique BARONTI et Françoise BIRCHER, connaissant bien cette espèce et son écologie, assure un suivi depuis de nombreuses années.

  • L’Alouette haussecol

    Alouette haussecol © Aurélien AudevardL’image de la semaine nous provient des salins d’Hyères où une observation rarissime d’Alouette haussecol a eu lieu durant la semaine passée. Originaire de la toundra alpine et arctique de Scandinavie, des montagnes de l’Europe de l’Est et de Sibérie jusqu’en Anadyr, cette espèce montre un déclin prononcée. Cette observation est donc inattendue sur la côte d’azur au cœur de cette saison estivale.

  • La fouine, un petit mammifère mal aimé

    Pendant le confinement, le Centre de sauvegarde de la faune sauvage a accueilli deux jeunes fouines trouvées faibles et en hypothermie © Marine SteinmannPendant le confinement, le Centre de sauvegarde de la faune sauvage a accueilli deux jeunes fouines trouvées faibles et en hypothermie. Membre de la famille des mustélidés, la fouine est omnivore. Son rôle régulateur des rongeurs et des colombidés empêche leur prolifération et revêt une utilité sanitaire. Cependant, même si sa présence est bénéfique pour la biodiversité, la fouine est encore classée parmi les espèces susceptibles d’occasionner des dégâts...

  • Préfiguration d’un atlas herpétologique régional

    Pélobate cultripède © François GrimalDepuis 2015, le Conservatoire d’espaces naturels de Provence-Alpes-Côte d’Azur (CEN PACA) assure la coordination de l’Inventaire Régional des amphibiens et reptiles de Provence-Alpes-Côte d’Azur.  Ainsi, une dynamique régionale d’amélioration et de partage des connaissances a été co-construite avec les herpétologues régionaux et a porté ses fruits notamment avec l’évaluation de la Liste rouge régionale.

  • La Corneille noire

    Corneille noire © Aurélien AudevardLa Corneille noire se différencie du Corbeau par son bec noir épais et son mode de vie plutôt solitaire. Sédentaire et très territoriale également, elle s’observe facilement sur le territoire de la métropole toulonnaise. Son régime alimentaire très varié occasionne parfois des dégâts dans les cultures où elle consomme les semis. Elle se nourrit également de charognes, d’invertébrés, de graines, de fruits et peut piller les nids d'autres oiseaux.

  • Les oiseaux marins sont parmi les plus menacés au monde

    foupetition david gremilletA l’occasion de la journée européenne de la mer du 20 mai, la LPO alerte sur l’impact néfaste de la pêche industrielle sur ces populations d’oiseaux et se mobilise afin de mettre en place des solutions concrètes pour y remédier.

  • Le Goéland leucophée

    Goéland leucophée © Aurélien AudevardOpportuniste, le Goéland leucophée a su s’adapter à son environnement et niche aussi bien sur les falaises côtières que dans nos métropoles. Redoutable prédateur, il s’alimente de poissons, d’oiseaux, d’œufs, de poussins, de petits mammifères, ou de déchets ménagers. Certains Goélands leucophées sont migrateurs et quittent la Méditerranée dès la fin de la saison de reproduction, pour rejoindre l’Atlantique ou la mer du Nord.

  • Déconfinement : le Centre de sauvegarde de la faune sauvage appelle à la vigilance des citoyens

    Grand-duc d'Europe © Marine SteinmannDès demain, le retour partiel à la vie professionnelle et aux loisirs de plein air de millions de personnes risque de perturber la tranquillité de la faune sauvage. Afin de protéger la biodiversité et de limiter les dérangements occasionnés par la présence humaine, des gestes simples et responsables peuvent être adoptés par chacun d’entre nous. 

  • Le Tournepierre à collier

    Tournepierre à collier © Aurélien AudevardLe Tournepierre à collier picore, sonde, pousse, ou retourne tous les éléments de l’estran notamment les cailloux ou les algues à la recherche de crustacés, de mollusques ou de vers. Après avoir passé l’hiver en Afrique de l’ouest, il rejoint actuellement l’Alaska, le nord-est du Canada et le littoral arctique du Groenland jusqu’à la Sibérie pour s’y reproduire. Pour réaliser cette prouesse, la présence de zones de halte migratoire devient une nécessité vitale. Gérés par la Métropole, les salins d’Hyères où cet individu a été photographié, fournissent la plus grande quiétude aux migrateurs épuisés.

  • L’Alouette calandrelle

    Alouette calandrelle © Aurélien AudevardL’Alouette calandrelle est la plus petite alouette nichant en France. Nicheuse rare dans le Var, elle s’y observe principalement lors de sa migration. Espèce des milieux secs, chauds et ouverts, son bastion de reproduction reste la plaine de la Crau dans les Bouches-du-Rhône. Très mimétique avec son milieu, elle se repère à son chant aérien. En forte diminution dans toute l’Europe, elle fait face à la disparition de ses habitats steppiques, engendrée par l’agriculture intensive ou à l’inverse par l’abandon des pratiques agricoles traditionnelles.

  • Un réseau de centres de soins au secours de la faune sauvage en détresse

    Logo du Réseau des Centres de Soins Faune SauvageL’union fait la force ! Bien qu’il soit le seul à couvrir l’ensemble de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, notre Centre de sauvegarde n’est pas l’unique structure à porter secours à la faune sauvage en détresse à l’échelle nationale. Aux côtés de 17 autres structures, notre centre fait partie du Réseau des Centres de Soins Faune Sauvage. Ensemble, nous travaillons à l’amélioration des soins apportés aux très nombreuses espèces présentes sur notre territoire. 

  • Nicolas Dubos rappe sur l'influence du climat sur la taille corporelle des passereaux Français

    Vulgarisation scientifique en RAP par Nicolas BudosNicolas Dubos est l'auteur d'une thèse sur l'influence du climat sur la taille corporelle des passereaux Français. A la suite du concours international de vulgarisation scientifique "Ma thèse en 180 secondes" il a proposé une nouvelle version musicale de son sujet à travers une courte vidéo de vulgarisation scientifique en rap ouvrant le sujet à tous les publics, notamment les plus jeunes.

  • Le Moineau domestique

    Moineau domestique © Aurélien AudevardLe Moineau domestique est un des oiseaux les plus communs du territoire français, à l’exception de la Corse d’où il est absent. Peu farouche, il vit aussi bien dans des milieux parfois très anthropisés comme les grandes agglomérations, qu’à la campagne où il affectionne les hameaux ou les fermes. En déclin dans de nombreuses régions, il est victime du manque de ressources alimentaires, de l’agriculture intensive et de la raréfaction de ses sites de reproduction.

  • Le Crapaud calamite

    Crapaud calamite © Aurélien AudevardEspèce protégée au niveau national, le Crapaud calamite, se distingue du Crapaud commun par une ligne dorsale jaune et par sa pupille horizontale noire bordée de jaune dorée. Nocturne, sa reproduction débute au mois de mars où il choisit des points d’eau temporaires pour déposer ses œufs. Il vit et hiverne dans un terrier, au cœur d’endroits sablonneux.

  • Camps de prospection Bouches-du-Rhone : toutes les dates, tous les lieux !

    point dobservation rapaces c aurélie johanet2Dans le cadre de la stratégie connaissance du département des  Bouches-du-Rhône, des inventaires faunistiques participatifssont organisés en 2020 en lien avec le Conseil Départemental. Il s’agit d’une occasion de renforcer les connaissances naturalistes, notamment dans les zones mal connues ou sous prospectées, afin d’établir dans le futur une stratégie de conservation adaptée aux espèces présentes.

    Dans cette optique, la LPO PACA organise d’avril à juin 3 camps de prospections naturalistes.

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